Charles Pasino, artiste… Homo Pictor SculptorQue
L’art, au fond, c’est imaginer la fumée avant que d’inventer le feu.
Je suis un imagier, un fabricateur d’images, taillées ou peintes. Le dessin est pour moi une nécessité, la peinture un besoin, la sculpture une évidence.
Il fut un temps, naguère à peine, où l’on demandait à un peintre : « peignez-moi donc une pomme, un sein, un cheval… » Et voilà que le rapin vous torchait une Vanité, une Suzanne au bain, une bataille… selon. C’était au temps où le peintre avait clients, et aussi clientèle.
Aujourd’hui, on lui demandera plutôt de justifier d’un public, de faire des dossiers, voire de « passer à la télé ». Je ne suis pas photogénique, je chante faux et je n’ai pas la télévision, alors… je peins, je dessine, ces sortes de choses. Dilettantisme ? Pourquoi pas, c’est bien là un des derniers refuges de la liberté.
D’essence italo-auvergnate, né un 4 juillet à Nice, il y a quelques lustres déjà.
On peut faire l’impasse :
Fêtes — St Charles — les 2 mars, 4 novembre, 1er et 7 décembre : c’est comme on veut.
Imagier postraphaélite, résolument NAPALM (Non Agréé Par Le Ministère)